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Ici Paris à vous Sydney...
5 décembre 2006

Quand Leo joue les héros

Salut les girls!

Alors d'habitude c'est Sham qui s'y colle mais ce soir, c'est moi qui vais vous parler de cinoche. Vendredi soir, partant pour voir James Bond, nous avons finalement atterri dans la salle des Infiltrés (c'était fait exprès einh, on ne s'est pas trompés de salle). Alors ce qu'il faut savoir:
- C'est le dernier Martin Scorcese
- C'est l'adaptation d'un film asiatique
- Jack Nicholson imite 'achement bien le rat (sisi)

- Leo di Caprio y est encore plus sexy que dans Titanic
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Après ces présentations d'usage, il faut bien rentrer dans le vif du sujet.
Alors moi, les films policiers, ça me botte. Alors tous les ingrédiens étaient réunis pour faire un bon film à mes yeux: le milieu de la police, les Etats-Unis, un flic infiltré chez les truands et un méchant infiltré chez les flics. Pour le méchant, il fallait compter sur Matt Damon, ultra musclé.
CQFD:
- Du sacré suspense: le méchant Nicholson (chef de la mafia de Boston) va-t-il découvrir que son nouveau petit protégé Léo est en fait de la police? Et Matt Damon, le vraiment très méchant, va-t-il arriver à découvrir qui est le "rat" parmi le clan géré par celui qu'il appelle "papa" (alors le "rat", d'où l'imitation de Nicholson voir plus haut et, détail important, Nicholson a "coatché Damon dans sa jeunesse. Tous deux irlandais, ça crée des liens)
- Du sacré love: avec la psy de la police qui va coucher avec la brute et le gentil. Entre les deux son coeur balance... Ah, j'hésite...

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- De sacrées flaques de sang: et ça, c'est le point négatif. Et vas-y que je te tire dessus, et vas-y que je découpe un cadavre et que je ressors avec les mains toutes ensanglantées. C'est bien simple, les cinq dernières minutes du film, il y avait tellement de rebondissements sanglants que la salle riait... Si si... Je ne pense pas que Martin voulait cet effet là spécialement. Non parce que sans vous dire la fin, c'est triste quand même.
- De sacrées technologies: entendu dans la salle à la fin de la projection: "Mais euh... Ils faisaient comment les méchants quand le portable n'existait pas...?" Ben tiens, ils utilisaient le pigeon voyageur pardi, pourquoi crois-tu qu'il y en a tant dans les rues de la capitale, ils sont au chômage mon vieux!

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Allez, vive Scorcese, vive la violence à l'américaine et vive Bambi!

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Commentaires
S
J'ai pas lu ton billet, je le ferai demain, mais j'ai adoré le film !
Ici Paris à vous Sydney...
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